Elles savent bien résumer, en peu de mots, des choses qui me semblent logiques, évidentes, pertinentes, voire amusantes. Les mots qui la composent ont du sens. Et pourtant, bien souvent, je constate que moi et les autres, nous passons à côté car nous ne les vivons pas.
Elles sont ainsi une sorte d'idéal intellectuel mais difficile au fond à vivre en substance. Elle reste, une belle peinture accrochée au mur mais, très peu de fois, elles accompagnent nos actes quotidiens.
Je viens, une nouvelle fois, dans faire l'expérience. Je m'étais pourtant un peu prémuni lundi en posant celle-ci :"Ce qui ne se trouve pas en nous, ne nous contrarie pas" (et donc ce qui se trouve en nous , nous contrarie ou encore, ce qui me contrarie chez l'autre est en moi) mais pas suffisamment!!! (voir le post de lundi).
Je suis tombé en plein dedans. Devant des stagiaires peu souples et intransigeants, je me suis sentis percutés de plein fouet. Bien vite, je me suis mis à ruminer intérieurement et les ressentis négatifs n'ont fait que s'amplifier. J'étais touché. Inconsciemment, je me suis alors raidi, et mon intransigeance à pointer le bout de son nez. Après tout, j'en avais le pouvoir, certains diraient le devoir. Peut être.
Heureusement, comprenant peu à peu ce qui se tramait en moi (merci la citation), j'ai accepté de voir les choses autrement. En effet, si je voulais répondre aux besoins de la formation (et non pas à ma volonté), il valait mieux que je reparte sur un autre chemin. J'ai alors amené chacun d'entre nous à oser se poser et à redéfinir les besoins de chacun, dans le cadre de la journée. Les stagiaires et moi avons pu déposer les armes et la formation se poursuivre avec plus de souplesse et de respect des uns des autres. Cela n'était pas la plus joyeuse ni la plus efficace des formations, mais elle m'a permis, au moins, de vivre la citation de lundi. "Mon intransigeance fait aussi partie de moi, elle me contrarie (encore)....";o))) Zut alors....
Elles sont ainsi une sorte d'idéal intellectuel mais difficile au fond à vivre en substance. Elle reste, une belle peinture accrochée au mur mais, très peu de fois, elles accompagnent nos actes quotidiens.
Je viens, une nouvelle fois, dans faire l'expérience. Je m'étais pourtant un peu prémuni lundi en posant celle-ci :"Ce qui ne se trouve pas en nous, ne nous contrarie pas" (et donc ce qui se trouve en nous , nous contrarie ou encore, ce qui me contrarie chez l'autre est en moi) mais pas suffisamment!!! (voir le post de lundi).
Je suis tombé en plein dedans. Devant des stagiaires peu souples et intransigeants, je me suis sentis percutés de plein fouet. Bien vite, je me suis mis à ruminer intérieurement et les ressentis négatifs n'ont fait que s'amplifier. J'étais touché. Inconsciemment, je me suis alors raidi, et mon intransigeance à pointer le bout de son nez. Après tout, j'en avais le pouvoir, certains diraient le devoir. Peut être.
Heureusement, comprenant peu à peu ce qui se tramait en moi (merci la citation), j'ai accepté de voir les choses autrement. En effet, si je voulais répondre aux besoins de la formation (et non pas à ma volonté), il valait mieux que je reparte sur un autre chemin. J'ai alors amené chacun d'entre nous à oser se poser et à redéfinir les besoins de chacun, dans le cadre de la journée. Les stagiaires et moi avons pu déposer les armes et la formation se poursuivre avec plus de souplesse et de respect des uns des autres. Cela n'était pas la plus joyeuse ni la plus efficace des formations, mais elle m'a permis, au moins, de vivre la citation de lundi. "Mon intransigeance fait aussi partie de moi, elle me contrarie (encore)....";o))) Zut alors....
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