mardi 21 septembre 2010

l'aventure continue

L'aventure continue sur facebook via un groupe, accessible par tous, même sans connexion à Facebook.
Voici le nouveau lien : s'émerveiller

vendredi 17 septembre 2010

L'inconnu fait peur...

"L'inconnu fait peur, .......l'inconnu c'est nous"
Thomas d'Ansembourg dans "qui fuis je? Où cours tu? A quoi servons nous? vers l'interiorité citoyenne".


dimanche 12 septembre 2010

dimanche 5 septembre 2010

Encore un pas de plus :o)

Après avoir dessiné les traits des personnages qui nous empêchent parfois d'agir (voir mon précédent post), j'ai tenté de dessiner ceux qui nous encouragent. C'est toujours aussi amusant de laisser mon crayon de bois me guider. (cliquez sur les dessins pour les agrandir)

samedi 4 septembre 2010

Simple et sympa

Je viens de découvrir cette vidéo. La mélodie est sympa, le dessin épuré et le texte en anglais est accessible. J'aime

jeudi 2 septembre 2010

Un pas de plus?

Après un an de mise en route, j'avais envie d'aller un cran plus loin dans l'enrichissement de ce blog. J'imaginais pour faire ce pas de plus, des couleurs chaleureuses, des traits épurés, des paroles douces, des textes poignants, des conseils sur l'émerveillement avisés, pertinents et sages, des photos idylliques, des vidéos émouvantes, des...
Alors ce midi, j'ai d'abord sorti mes crayons et mes feutres et je les ai laissés filer sur le papier. Sont apparus alors bizarrement tous mes gentils personnages que j'adosse jour après jour pour ne pas faire, ne pas oser. Et voici que le peureux, le grognon, le moqueur, le blasé, le paresseux, l'indécis, le sclérosé, le castrateur, le rêveur, l'auto-saboteur pointèrent au bout du feutre.
Zut! c'était pas prévu!
Bon, il faudra s'y faire et agir et s'émerveiller en leur compagnie. ;o)

mercredi 1 septembre 2010

Retour de Vacances

En ce début de rentrée, chacun revient chargé de souvenirs de vacances. Des mots, des images de soleil, de farniente, de bon air, de détente, de paysages débordent. On parle de nos journées lassives ou de nos découvertes, nos activités, nos rencontres. On en parle avec le sourire, avec un goût savoureux; le délicieux n'est pas loin. Le contenu des vacances déposé, la sensation d'un manque, d'une insatisfaction, d'un écart vient parfois chatouiller notre quotidien retrouvé. On aspire à de nouvelles retrouvailles rapides avec l'été chatoyant.
Grattant un peu plus loin, il nous faudrait presque envisager, espérer changer de boulot, de maison, de région, de mode de vie. Des rêves s'échappent l'espace de quelques jours avant de se dissoudre avec la reprise de nos activités, même sous la grisaille la plus tenace.

Pourtant, pour ma part, il me subsiste une attente permanente, plus vitale, plus simple, plus souple, plus légère. Une disponibilité à ce qui me rendait "sobrement" vivant.C'est à dire un contact à soi et l'environnement, qui pendant un court instant, me décochait un sourire et me faisait chantonner un air d'Alain Souchon "si la vie est un film de rien, Ce passage-là était vraiment bien, Ce passage-là était bien ".

L'intense n'était pas présent.

Et c'est bien ce dont j'ai pris conscience cet été. La société de consommation à laquelle j'appartiens et qui me convient à bien des égards, entretient l'intense, le toujours plus. Je ne rejette pas cette intensité mais pour faire une parabole amusante, je dirais que si l'électricité m'est utile, elle ne m'est pas nécessaire pour regarder le soleil. C'est pourquoi, aux retours de vacances, j'ai entendu, autour de moi, non des désirs éculés d'élevage de chèvres au Larzac, mais une aspiration à rester vigilant aux choses simples et naturelles. C'était comme une évidence. Peut être comme une alerte.